On n'est jamais à l'abris d'un imprévue... [Rp Yuuki/Kazan/Gilbert/Jack/Hadès/Cirhcé/Arwenne/Deneb(?)]

Ce matin, pour changer, Yuuki c’était levée de fort bonne humeur. Elle se réjouissait de la matinée qui s’annonçait.
Qu’elle formidable idée avaient-il eut, Kazan et elle , d’organiser une petite dégustation de thé !
Pour l’occasion, la jeune fille s’était vêtue d’un légers kimono de soie beige munie d’une ceinture blanche. Cette tenue était sa préférée car elle avait l’impression de ne rien porter, légère comme le vent alors qu’en réalité, elle état couverte par un somptueux tissus couleur peau teinté de rose. Elle espérait vraiment qu’il ferait d’ailleurs son petite effet, se plaisant à être regardée avec admiration.
Deux heure plus tard, quand elle eut finit de prendre soin d’elle, enroulée dans son kimono d’été qui la mettait en valeur, une touche discrète de maquillage aux yeux, elle déboucha dans les couloires, une quantité de boites indescriptible empilées sur les bras.
Malgré qu’elle était chargée comme une mule et habillée tel que si elle allait assister à une cérémonie d’importance mineure mais importante toute de même, elle réussissait à conserver sa démarche sautillante.

Les escaliers qui menaient à la salle de divination calma quelque peu ses ardeurs mais ce fut débordante de joie qu’elle enfonça la porte de la salle.

Energique, elle abandonna ses précieuses réserves de thé sur une table comme si elle état chez elle.
Frappant ses mains l’une contre l’autre, satisfaite, elle ouvrit alors violemment les rideaux, faisant pénétrer la lumière dans l’antre de Kazan.
Elle en profita pour ouvrir les fenêtre pour aérer un peu, respirant un instant l’air pure.
Enfin, elle se retourna, posant les mains sur ses hanches. Yosh !!!

Il fallait se mettre au travail.
Sérieuse, elle resta immobile un instant, les sourcils froncés.
Que faire… ? Mais ! Où est.. ?
D’un mouvement vif, elle regarda dans toutes les directions.

-Professeur ? …Kazan !!

Elle commença donc à fouiller la pièce, criant le nom de celui qu’elle cherchait désespérément quant elle perçut un juron non loin de là. Le visage de Yuuki s’éclaira alors encore plus, et elle lui offrit son plus beau sourire, pressée de se mettre enfin au travail et de recevoir leurs invités.

Ce fut le petit chant aigu des oiseaux au dehors ainsi que les minces rayons de soleil éclairant son visage qui le tirèrent de son sommeil.
Gilbert ouvra doucement les yeux, observant le décors autour de lui. Tient, cela ressemblait étrangement à son salon. Il avait encore dut s'endormir sur ses nombreux ouvrages de métamorphose.
Le professeur se redressa lentement, laissant tomber dans un bruit sourd tout les bouquins qui lui avaient servies de couverture pour cette nuit.
Surtout se rappeler de ne plus faire de recherches pendant les heures tardives. Mauvais pour le sommeil et pour son pauvre cerveau qui devait avoir l'allure du jus de citrouille en cette matinée. Comme une gueule de bois mais avec les souvenirs! Chouette!

Il se leva gauchement, manquant de tomber à plusieurs reprises en s'entravant sur ce qui traînait par terre avant de se diriger vers la salle de bain.
Bon rectification, ne pas travailler tard et penser à ranger tout son foutoir.
Une bonne douche revigorante et une volonté toute retrouvée pour faire le ménage plus tard, il dénicha sous un tas de copies tout son courrier des derniers jours. Quelle surprise~
Orion feuilleta le paquet et remarqua une lettre datant d'hier. Le professeur observa l'écriture sur l'enveloppe, douce, arrondis, fine. Une écriture de femme en fait. Qui donc pouvait bien lui écrire...

Gilbert l'ouvrit, lu le contenu et arbora un immense sourire. Il venait d'être convié en ce jour à une sorte de salon de thé. Comme quoi il avait eu raison de vouloir ranger un peu.
Il partir directement s'habiller, avec classe bien sur, mais cela restait simple. Donc un jean, un T-shirt des wizzards Sisters ainsi que quelques bracelets assez gothique. De toute façon, il pouvait revêtir tout les styles, cela lui allait parfaitement.
Orion regarda discrètement l'heure et se détendit en voyant qu'il avait encore un peu de temps devant lui.
Il partit doucement sur le lieu de rendez-vous. La tour de ce cher MadDammon (Comment se fait-il qu'il ne soit pas encore enfermé entre 4 murs celui là?).
Arrivant enfin en haut des escaliers *on n'avait pas idée de mettre une salle aussi haute*, il vit, se dandinant avec anxiété devant la porte, un jeune Poufsouffle. Jack Holmes s'il se souvenait bien.

Gilbert s'approcha à pas de loup, effaçant presque sa présence. A son niveau, il l'observa un peu plus, il semblait longuement hésiter sur le fait d'entrer ou non dans la salle. Peut être avait-il été lui aussi convié à cette "réception".
Dans tout les cas, il n'allait pas rester planté là à attendre que le petit veuille bien bouger ses fesses. Presque dans un même mouvement, il ouvrit la porte d'une main et poussa fortement le Pouffy dans la pièce avec l'autre.
Le gamin n'eut pas le temps de réaliser ce qui venait de lui arriver et s'étala par terre.
Gilbert entra à son tour en lançant un joyeux "Bonjour!~" à l'assemblé déjà présente.

Après une courte réflexion, la Serdaigle se décida à troquer son uniforme contre une tenue plus décontractée et qui lui garantissait une plus grande liberté de mouvement.
Ainsi, elle enfila un pantalon de tissus kaki aux multiples poches ainsi qu’un débardeur noir dessinant un dragon en dentelle dans son dos.
D’un coup d’œil dans le miroir, elle s’assura que tout était en ordre, ainsi que sa natte qui glissait sur son épaule.

Elle était légèrement en retard, toutes ces préparations l’avaient retardée et elle se devait donc de dévaler les escaliers pour rattraper le temps perdu, en prenant évidemment garde à n’être vue par personne.
Arrivant à l’étage désiré, elle ralentit l’allure. En effet, elle arrivait maintenant devant la salle de Monsieur Mower, devant laquelle elle se posta, contre le mur, les bras croisés.
Calmant sa respiration, elle fit disparaître toute trace apparente de sa course folle dans les escaliers, affichant son air habituel et serein.

Brusquement, la porte s’ouvrit, laissant apparaître un…jeune homme ?
D’un regard indéchiffrable, Arwenne regarda Cirhcé la détailler, presque autant surpris qu'elle.
Il s’était vêtu d’une chemise claire et d’un pantalon tout aussi lumineux. A l’évidence, il avait même essayé de faire quelque chose de sa chevelure rebelle…
Arwenne esquissa un sourire. Il faisait beaucoup plus jeune et était beaucoup plus séduisant ainsi, plutôt qu’avec sa longue cape ébène…
Que d'effort pour une petite réunion d'amis...

Tout naturellement, il la salua et entama la conversation :

- Mademoiselle H'Erundor ! Vous êtes splendide !

Arwenne retint tout commentaire. Son professeur la complimentait, qui plus est, M.Mower sur la tenue… Et de façon fort directe.
Non, elle n’était pas dupe. Ça n’annonçait rien de bon… Ce n’était pas du tout dans son habitude de parler ainsi…

-Je vous remercie de m'accompagner chez... Euh... Chez le professeur MadDamon ! Vous comprenez je suis dans un grand trouble !

Ah ! Nous y arrivons !
Elle détourna les yeux du couloir pour le regarder plus en détail, curieuse. Que se passait il donc?

-Il se trouve que mon cousin - Vous savez, celui qui à tué mes parents- vient tout juste de sortir de ... Euh... Enfin il est revenu !

Ah.
Arwenne fit tout les efforts du monde pour camoufler son expression. Les questions, sorti d’où ? comment ? Et pourquoi ? Seront des problèmes à résoudre plus tard. Ainsi que de savoir si ils avaient eut une petite conversation au sujet des souvenir de M.Mower...

-Mais je l'ai perdu ! Il s'est enfuit !!!

…Ah.
En effet le professeur semblait vraiment anxieux. La jeune fille ne voyait d’ailleurs peu ou pas d’autres explications à tout ces bouleversement d’attitude chez son interlocuteur.
Perdre de vue un mangemort, dans un lycée tel que Poudlard… Quelle idée.

-J'espère sincèrement qu'il est déjà chez Kazan ... Mon Dieu mon dieu ! Je n'ose pas imaginer ce qu'il ferait s'il sortait du chateau... Ah je suis sure que vous allez bien vous entendre ! Enfin il ne faudra pas trop lui en vouloir vous comprenez... Il ... Il n'a pas eu beaucoup de compagnie ces dernières années et ... Enfin vous verrez ! On dit qu'on se ressemble mais ... Il est tout de même un peu dans son monde...
Venez ! On va être en retard !

Lorsque qu’il eut finit sa longue tirade, Arwenne détourna la regard vers le chemin à suivre vers la tour du Nord, s’efforçant sans mal à calquer l’allure de son compagnon.

Décidément, jamais elle ne l’avait entendue parler aussi longtemps sur une si courte durée… Ni s’habiller ainsi, ni camoufler si peu son angoisse, ni...
Et il y avait ce Hadès… Elle inspira de manière plus marquée.
Ainsi elle se mit en mode "fermée" et insensible. Un nouveau sujet à ses études psychologique s’annonçait… Et si c’était bien un membre de la famille au professeur Mower, elle s’annonçait passionnante…
Mais la serdaigle gardait bien en mémoire qu’il s’agissait d’un mangemort, il fallait rester sur ses gardes, vraiment…

Bref, avec ce nouveau venu, et l’étrange attitude de son ami, la journée s’annonçait prometteuse.

Il s'était réveillé assez tôt.
En fait, il s'était levé comme tout les matins. Sauf que le hic dans tout ça était le fait qu'il était en vacances. Et qui dit vacances dit grasses matinées, journées à ne rien faire, cool pépère et surtout, disparition de tout ennuis ainsi que sa chère famille.
Petit problème, quand il dormait peu, cela voulait dire qu'il était stressé. Mais être stressé alors que l'on a pas cours ne lui plaisait mais alors pas du tout.

Enfin bref, hormis le passage de la nuit gâché, le jeune Jack n'arrivait toujours pas à ce calmer. Il faisait maintenant les cent pas dans sa chambre tel un lion en cage. Tient, il se comparait à un Gryffy...tss quel idiot il faisait. Il n'avait strictement rien d'un Gryffondor, pas de courage, pas de volonté et encore moins insouciance et d'imprudence.

Il s'arrêta, se dit que sa condition de Poufsouffle peureux ne l'aidait pas vraiment.
Certes il voulait y aller, en même temps c'était Yuuki qui l'avait invité. La gentille et jolie Yuuki voulait voire le thé avec lui!
Malheureusement quand il avait su, qu'en plus du fait qu'ils ne seraient seuls, que sa plus grande peur allait aussi participer à la fête, il avait faillit faire une syncope.
Il frémit d'avance quand à la confrontation.
Cet homme avait le don de le traumatiser peut importe la façon dont il apparaissait.

En même temps, il se dit que s'il ne venait pas, elle serait sûrement triste. Il l'espérait.

C'est comme ça qu'il se retrouva devant la porte du cher professeur. Il avait failli rebrousser chemin au moins une dizaines de fois et poirotait au moins depuis...Aller facile 20min?
Alala quel stupide blaireau il faisait...
Aller une grande inspiration mon grand et on y va!

Avant qu'il n'ai pu esquisser le moindre mouvement, la porte s'ouvrit d'elle même et du même temps, il sentit quelque chose dans son dos le pousser violemment en avant.
Retenant au moins un cri de surprise peu viril, il eut moins de chance quand à sa réception et se rétama méchamment sur le sol.
Bon sang que ça faisait mal! Mais qui était le crétin qui venait de lui faire ça?!
A... Bonjour M.Orion...Ok finalement faire profil bas était pas mal.

Il se releva tant bien que mal et observa les alentours. La pièce avait été éclairée et de multiples coussins avaient été mis.
Il vit aussi les premiers arrivant. Le prof, toujours aussi fidèle à lui même, Yuuki qui resplendissait, son coeur avait sauté un battement en le voyant et un homme qui lui était tout à fait étranger.
Il lança un "Bonjour" presque inaudible et alla s'asseoir près d'une fenêtre qui donnait sur la forêt interdite le tout avec une grande discrétion.

Kazan et Yuuki n’avait même pas achevé les préparatif qu’un homme inconnu pénétra dans la pièce. Un détail frappa la jeune fille. En effet, l’homme avait des mèches blanches parmis ses cheveux noirs. Et cela eut pour effet de fasciné la petite japonaise.

Mad’Daemon, lorsqu’il l’aperçu le prit joyeusement dans les bras. Ainsi ils se connaissaient !

La gryffondore les regarda, réjouit de faire une nouvelle connaissance et qui plus est, accueillir un invité surprise, avec des mèches blanches !
Rayonnante dans son superbe kimono, elle adressa un de ses plus beau sourire à l’inconnu qui lui offrit en échange un regard peu engageant.

L’homme semblait de fâcheuse humeur, mieux valait peut être ne pas l’embêter pour l’instant… Surtout qu'elle avait mieux à faire!!
Voyant l’heure tourner, elle se remit au travail, gardant un œil sur cet étrange homme qui s’était assit dans un coin.
A peine eurent-ils terminé que la porte s’ouvrit violemment et qu’une masse sombre s’étala sur le sol. Nani.. ?

Au seuil se tenait, toujours aussi charmant, le professeur Orion. Elle l’aimait bien lui aussi, toujours souriant !
Elle répondit à son Bonjour en sautillant vers lui, dans un frottement de soie.

Elle passa à coté de ce qui était Jack qui se redressait péniblement, lui adressant un sourire au passage. D’abord, M.Orion !
Quand elle eut finit de le remercier pour les honorer de sa présence et de rigoler un peu, elle se retourna pour voir que Jack, installé à coté de la fenêtre.

-Jack !

Elle était très heureuse qu’il soit venu. Alors elle accouru vers lui et le serra dans ses bras, débordante de joie.
Quand elle le lâcha, elle se rendit compte qu’il faisait une tête bizarre… Peut-être était-il malade !!
Mais avant qu’elle ne pu lui poser la question, la porte s’ouvrit à nouveau et Kazan se chargea d’accueillir les nouveaux invités.
Là se tenait ce qui semblait être le professeur Mower accompagné de la dernière année, Arwenne H’erundor. Sauf que le professeur en question était habillé de couleurs claires et cela lui allait très bien ! Il semblait beaucoup plus sympathique !
Elle joignit inconsciemment ses mains, comme pour prier. Qu’elle formidable vision ! Elle les imaginait bien… Non ! Il faut rester concentrée ! Ce n'est pas le moment de rêver!
Ses yeux brillèrent alors de milles feux. Non seulement tout le monde était réunis, mais elle allait partager sa passion!

Sans ménagements, M.Mower ouvrit la porte sur la petite pièce.
Rapidement ses yeux s’accoutumèrent à la luminosité et elle n’eut d’autre réflexe que de s’écarter de son compagnon sur lequel s’était jeté une masse sombre.
Les doigts effleurant sa baguette, elle remarqua qu’il ne s’agissait que de ce cas psychologiquement intéressant, Kazan Mad’Damon, qui s’était littéralement jeté sur son pauvre cousin.
Les sourcils légèrement relevés, elle observa l’étrange scène. Tien ? Cirhcé aime les câlins maintenant ?

Face à cette nouvelle découverte et après avoir balayé la pièce du regard, repérant chaque invités présent, elle tenta de se faufiler pour pénétrer dans la pièce quand ses instincts surdéveloppés lui crièrent de s’arrêter et de regarder derrière elle. Quelle était cette aura démoniaque ?
Le regard froid, elle tourna la tête.
Kazan avait lâché le professeur Mower qui s’élançait justement dans la pièce et le professeur de divination la regardait bizarrement.
Non…
Elle fit un pas en arrière, espérant échapper à ce qu’elle présentait sans user de violence, mais ce fut trop tard. Il l’entoura de ses bras d’un mouvement vif.
Vainement, elle tenta discrètement de se dégager mais l’animal était plus fort qu’il n’y paraissait, et elle n’allait pas le réduire en miette devant autant de témoin.
Malgré ses tentatives désespérées, elle en profita pour regarder plus en détail ce qui semblait être le cousin de M.Mower…
Après ce qu’il semblait une éternité pour la jeune Arwenne, il relâcha son étreinte et l’éloigna et s’écriant :

- Oh oh ! Et ben mon Cici ! Tu l'as bien trouvée ! Elle est très jolie :'') Je me demandais quand tu allais te trouver une bichette 8'D Bon elle à pas l'air très souriante mais qui se ressemble s'assemble hein ...

Bien qu’elle gardé son calme apparent habituelle, elle hésitait fortement à étriper le professeur de divination.
Froide, et voyant qu’elle ne disposait d’aucun soutient de la part de Mower, elle pénétra dans la pièce, ignorant le regard idiot de la gryffondor Yuuki qui semblait persuadée que les paroles de Kazan était la vérité même, laissant certainement son imagination s’envoler vers… Non. Ne valait mieux pas imaginer.
Elle choisit donc de passer devant le pirate tel un courrant d’air froid, en lui jetant évidemment un regard assassin. Mais celui-ci tapota sur son épaule ainsi que sur celle de Cirhcé. Voulait-il qu’elle lui tranche les mains ?
Mais elle ne mordra pas à l’hameçon. Elle était habituée à ce genre de provocation, mieux valait garder son sang froid.

- Contente de vous voir en si bonne forme, professeur Mad’Damon. Même si je tiens à vous rappeler que ce genre de relation sont interdites au sein de l'école, n'est ce pas?

Après ce cette courte réplique qui se voulait sur un ton tranchant, elle jeta de manière très souligné un regard à la jeune Yuuki, histoire que son interlocuteur saisisse où elle voulait en venir. Elle avait bien remarqué leur étrange relation, et la manière dont il regardait son élève...
Un sourire en coin, le pas assuré, elle alla donc saluer brièvement le petit comité, laissant le pauvre Kazan se comprendre le sens de la réplique et la jeune fille.

Ce n’était pas qu’elle n’avait pas remarqué l’être qui se tenait au côté de Cirhcé qui semblait par ailleurs terriblement soulagé, bien au contraire. Et la première chose qu’elle avait remarqué. Et avant même d’analyser le mystérieux personnage, c’était les lames qui semblaient de fort bonne qualités, qui pendait peu discrètement, aux goûts de la guerrière, de ses hanches qui avait attiré son attention.

Elle s’assit de l’autre côté de la salle, en face, fixant l’inconnu, et le détaillant sans aucune gêne.
En vue de sa maigreur peu naturelle, de sa peau plus claire encore que son cousin, et des quelques marques qu’elle pouvait entre apercevoir, elle pouvait facilement en déduire qu’il avait fait de la prison récemment. Et pour en témoigner, des discrètes rougeurs arboraient ses poignées où on attache souvent les prisonniers.
Quand au regard, il était claire qu’il n’était pas du genre sympathique.

Arwenne jeta un regard à son professeur de DCFM, quelque peu désaprobateur. Son cousin était clairement dangereux.
Le garder à Poudlard n’était certainement pas une bonne idée…
Et le regard de Hadès en disant tant. Lointain, vide, froid… Rien qu’y n’engageait à une quelconque joie de vivre, rien… Et quand un regard est aussi brisé, c’est qu’on a perdue toute espoir envers la vie, donc ce dont nous tenions plus que tout au monde, et une personne qui n’a plus rien à perdre est extrêmement dangereux.
…Non. Il a encore ses cousins. Tes déductions sont trop attives.

Mais même à elle, croiser le regard du mangemort, statut qui faisait de lui un assassin, rien de bien rassurant, la perturbait. Elle gardait donc ses mains à porté de ses quelques fines lames bien camouflées, si cela pouvait la rassurer et l’aider à conserver son aplomb.
Elle devait prendre garde à cet homme, c’était une évidence.
Et elle ne s’autoriserait pas à s’attendrir en pleine connaissance de ses actes envers Cirhcé.

Il faudra qu’elle parle avec Cirhcé… Discrètement, elle effleura la zone où se trouvait son tatouage en forme de dragon, invisible, pour pouvoir appeler le professeur.
Des complications s’annonçaient clairement.

Le jeune Poufsouffle restait tapis dans son coin, observant la scène d'un regard peu rassuré jusqu'à ce qu'une petite masse brune lui saute dessus. Reprenant le peu d'esprit et d'assurance qu'il avait pour comprendre la situation.
Yuuki venait de le prendre dans ses bras... LE PRENDRE DANS SES BRAS!!!! Oh par Merlin! Si cela avait été un rêve, qu'on ne le réveille surtout pas par pitié.
La jeune fille se détacha et repartit accueillir les derniers arrivants.
Le jeune homme pris une teinte plus que rouge, virant même au bordeaux si on y regardait bien. 
Il marchait sur des nuages, sa vie n'était peut être pas si pourrie que ça finalement. Un sourire idiot et béat naquit sur son visage et le surplus d'émotions fit bouillonner le peu de magie en lui pour faire apparaître en même temps de façon inconsciente de petites fleurs roses lumineuses autour de lui, l'entourant complètement.

Le rêve vira rapidement au cauchemar quand un certain professeur de divination à la capacité de réflexion réduite vint se poser juste sous son nez avec un sourire taquin qu'il interprétait comme cruel.
Celui-ci engagea même la "discussion" en parlant de son épouvantard, qui se trouvait également être la  personne devant le pauvre Jack.
Quelle déveine....

Son corps se crispa malgré le fait qu'il était parcouru de tremblements. Ses mains étaient devenues moites et sa respiration difficile.
Que quelqu'un lui vienne en aide. N'importe qui. Même Morgane aurait était parfaite. 
Ce vieux fou savait. Cela pouvait bien être la pire chose qui pouvait lui arriver. Il savait que cet homme allait allègrement en profiter pour le martyriser encore plus.
Tout son être lui disait de crier et de s'enfuir le plus loin possible de ce professeur mais impossible de bouger.
La main de cette étrange personne vint se poser sur son épaule lui arrachant un frisson d'horreur et manquant ainsi de faire une crise cardiaque à son contact.

MadDammon ajouta quelque chose, inaudible pour le jeune garçon qui était déconnecté de la réalité, avant de partir lui  aussi montrer son "affection" aux autres.
Les minutes suivantes furent consacrées à la remise à jour de ce qui lui servait de matière grise.
Il manqua ainsi aux câlins intempestifs de Kazan sur les nouveaux venus de même qu'un espèce de duel de regard triangulaire entre Cirhcé, Arwenne et Hadès.

Reprenant enfin les rênes de son corps, il décida de se concentrer sur autre chose car les événements passés, bien que bref, mettaient les nerfs à rude épreuve pour le petit Pouffy qu'il était.
La fenêtre donnant sur le lac attira son regard, se disant qu'au moins il ne craignait rien en restant en retrait à observer le paysage.
Il se posta sur le rebord et laissa ses yeux profiter de la vue tandis que tout le beau monde derrière commençait à s'animer.

La révélation de Kazan, c'est à dire que le professeur Cirhcé avait une liaison avec la serdaigle Arwenne chamboula la jeune Gryffondor. En effet, ce genre de relation était interdite au sein de l'école, il devait donc certainement se cacher et souffrir de leur amour si passionné! Ô combien de fois avaient-ils due penser à s'enfuir!! Mais leurs obligations les possaient à rester dans la souffrance du secret et des lois trop dure de l'école! Ils devaient certainement parler de choses très importantes en arrivant ensemble... Et vue leur expression, de quelque chose qui pourrait mettre en périle le secret de leur relation, quelque chose comme...
...Mais oui! Arwenne est enceinte!!!
Yuuki était très sure d'elle, son résonnement était sans faille pour la jeune fille. Le regard emplit d'étoile, elle fixait le vide. Oui. Ils auront quatre enfants... La première sera brune aux yeux gris, comme sa mère! Et... Mais... ça voulait dire que Kazan et elle allait être parrain et marraine!!
Ainsi elle allait les garder pendant que leurs parents partiront en voyage de noces, elle les verra grandir, elle leur apprendra l'art de la cérémonie du thé et... et..!
...Hum?


Yuuki cligna des yeux. Elle se trouvait dans une salle qui abritait un certain nombre de jeunes gens qu'elle... connaissait. Mais oui!!
Enfin redescendue sur Terre, elle se jeta dans un coin de la pièce dans un froissement de kimono pour faire chauffer l'eau pour ses invités.
Une fois l'eau sur le feu, elle sautilla au milieu de la pièce pour aller annoncer à Kazan qu'il allait être parrain.
Enfin, elle pouvait souffler un peu. Alors que la pression tombait, elle se rendit compte que ce n'était pas le stress qui comprimait sa poitrine, mais sa ceinture de tissu clairement trop serrée.
Elle cligna alors des yeux, accourant vers la première personne qu'elle trouvait, pour se plaindre d'une expression exagérée.

- Ma ceinture est trop serrée!!

En pleine detresse, l'inconnu se porta volontaire pour l'aider. Comme il était généreux!
Innocemment, elle se mit dos à l'assemblée, détaillant les planches du plafond. Elles devaient en avoir vue du monde... Combien en tout? ça lui rappelé le manoir où elle avait passé des vacances aux Etats-Unis... C'était à peut près le même bois lui semblait-il...
Quand soudain, la pression se relâcha, la sortant de sa réflexion, et elle se sentit revivre.
Enfin!!


Elle retrouvait sa légèreté habituelle dans cette tenue, tandis que le silence s'était étrangement installé.

Hadès semblait déterminé à ne pas baisser le regard face à Arwenne, tout en étant… Ailleurs.
Elle put le voir murmurer quelque chose et une brume argenté s’enrouler autour du tabouret du mangemort.
Intéressant…
Prolongeant son étude, elle ne le lâcha pas du regard quand celui-ci se décida à regarder ailleurs, soit la petite Yuuki qui passait devant, l’air affolé.
Fronçant les sourcils, elle étudia le cas de la jeune gryffondor.
De toute évidence, la ceinture de la jeune fille était trop serrée… Arwenne s’y connaissait en kimono, puisqu’elle avait été élevée dans ces contrées.
Alors qu’elle allait se lever dans un élan de bonté, elle fut surprise de sentir ses oreilles frémir. Un son qu’elle connaissait bien venait de lui parvenir. Elle pivota vers l’origine du son qui était bien évidemment Hadès qui avait sorti un de ses rasoirs.
Immobile, elle observa la scène. Yuuki se retourner, la lame s’approcher du dos de la jeune fille, rentrer en contact avec le somptueux kimono, (oO) le tissus s’affaler délicatement sur le sol, et la peau blanche frôlant la perfection de la japonais aux courbes féminines apparaître aux yeux de tous...
Arwenne eut un légers bug. Elle suivit du regard Hadès qui retournait s’asseoir comme si de rien n’était.
Le corps dénudée d’une aussi jolie jeune femme ne lui faisait donc rien ? Même pas géné de son geste ?
Et alors qu’elle aurait voulu tirer des conclusions de ces constats, son attention se perdit au plaisir à observer les réactions du comité.
Outres le jeune pouffy qui venait littéralement de rater sa vie, fixant l’horizon, le petit groupe exclusivement masculin arborait des expressions relativement intéressante…
Bien qu’inactive face à l’innocence de la jeune fille qui ne semblait pas s’être rendue compte du « problême », Arwenne se laissa aller à son activité favorite.
Tout d’abord il y avait Cirhcé, qui avait une expression absolument illarante pour la serdaigle. Il était claire qu’il ne pouvait décoller ses yeux de la merveille qui se trouvait en face de lui, ne sachant non plus comment réagir. Sans oublier qu’il tenait sa baguette à l’envers, tentant vainement de bafouiller un sortilège…
Son cerveau devait certainement être sans dessus dessous…
Puis il y avait Kazan… Il regardait son élève à l’évidence favorite de haut en bas, avec une expression de béatitude et de fierté absolue… Bien moins comique.
Ensuite le directeur de sa maison qui s'était parfaitement endormie. Quelle tristesse... Quoi qu'il aurait surement gâché le moment en intervenant immédiatement...
Avant toute intervention, elle tourna la tête vers le professeur Orion. Sourire au lèvre, la tête maintenue entre ses doigts, il semblait juger « pas mal » le corps de son élève.
Son poing décrivit alors une ligne parfaite dont l’irrémédiable aboutissement se trouvait être la mâchoire du professeur. Quand elle se rendit compte de son geste, elle ne put consentir qu’à diminuer la force de l’attaque…
Son adversaire étant encore baigné dans l’incompréhension de ce qui venait de lui arriver, sévère, Arwenne se retourna pour enfin se décider à venir en aide à la gryffondor mais… Comment ? Ce fut alors que Kazan rentra en action, couvrant jalousement la fille en détresse bien qu’elle ne s’en était toujours pas rendue compte, de sa longue veste.
Lançant à Cirhcé un sourire narquois presque sadique face à sa réaction, elle se rassit paisiblement, sans se soucier de sa propre inaction.
Ses études primaient largement sur l’état de la gryffondor qui poussait désormais un cris strident, comprenant enfin l’étendu des dégâts.
 Mais ça lui passerait. Arwenne la savait trop… spéciale, pour se soucier longtemps de ce genre d’incident.
La serdaigle se frotta les oreilles pour faire disparaître les séquelles du cris insupportable qu’elle venait d’entendre puis elle alla se servir du thé, gardant un œil et sur Cirhcé auquel elle adressait de larges sourires taquins, et sur son cousin, envers lequel elle était… moins chaleureuse disont.

Le professeur n'avait cure du petit Poufsouffle devant lui. Enfin si, il bloquait le passage et ça commençait à passablement l'agacer. 
Il était venu pour boire du thé que diable! Pas observer ce petit bonhomme tremblant.
D'ailleurs pourquoi avait-il peur? C'est cette petite réception qui le mettait dans des états pareil? Et ba dis donc il devait pas sortir souvent. 
D'après ce qu'il savait ses parents étaient moldu... Qu'est ce que se devait être dans les grandes surfaces, le gamin devait faire des crises d'angoisses ou d'épilepsies.
Rien qu'à l'idée de l'imaginer dans les rayons moldu le fit ricaner silencieusement.

Enfin bref, le petit venait enfin de libérer le passage grâce à une intervention groupé de la petite Yuuki et de ce cher Kazan.
Il les remercia intérieurement, pas besoin non plus de leur faire des cadeaux. Déjà que la vie de prof c'était pas ce qui rapportait le plus alors en plus s'il devait tout perdre en babioles futiles alors qu'il pouvait acheter des ouvrages bien rares sur la métamorphose.
Alala ne nous étalons pas sur le sujet où en y est encore jusqu'au millénaire prochain.

Il s'installa sur un des coussins mis à disposition et attendit le pourquoi de sa venu. Gilbert observa un petit peu les alentours, et fixa un peu plus l'inconnu qui avait rejoint la troupe. Il avait l'air...Sinistre. Vraiment sinistre. Avait-il eu un jour un sourire esquissant son visage?
Peut importe, cet homme ne lui disait rien qui vaille et laissa tomber sa contemplation.

Justement, quelques minutes plus tard, cette dite personne s'approcha de la petit Yuuki pour...la déshabiller grâce à l'un de ses lames.
D'un, pourquoi avait il une lame? Et de deux,... Non finalement pas de deux.
Quel corps dis donc! Ses courbes parfaites, cette peau laiteuse à l'allure douce. Elle avait bien caché ça la Gryffy~ 

Mais avant qu'il ne puisse continuer sa petite introspection, quelque chose arriva brutalement dans sa mâchoire.
Il lui fallu quelque secondes pour reprendre ses esprits et se rendre compte que c'était la jeune Serdaigle qui venait de le frapper. Sûrement pour avoir légèrement regardé sa camarade. 
Note: penser à lui retirer des points plus tard.
En attendant, il la fusillât bien copieusement du regard, la petite Yuuki étant maintenant "couverte".
Il garda quand même dans un coin de son esprit la réaction de son ami Cirhcé pour lequel il ne manquerait pas de le charrier dessus.

Alors que l'innocente Yuuki allait se retourner et aller servir le thé, enfin soulagée, elle sentie le doux regard de Kazan se poser sur elle, et elle lui retourna son sourire pendant qu'il s’apprêtait à déposer un blouson de cuire sur ses épaules.
L'odeur qui s'échappait de la veste signifiait clairement qu'il appartenait à son ami Kazan, et elle voulu le remercier chaleureusement tout en lui signifiant qu'elle n'avait pas particulièrement froid quand elle se rendit compte de quelque chose.

Elle baissa les yeux pour constater que son kimono gisait à ses pieds.
Son kimono préféré... Son kimono? Mais alors...? Ils l'avaient tous vu..?


Elle poussa alors, lorsque le cuir rentra en contacte avec sa peau, un cris strident partagée entre la peine de voir son kimono favori ainsi découpé et la honte d'avoir était vue par tous, nue.
Tandis qu'elle explosait les tympans de ses invités, Kazan tapota son épaule, compréhensif (LOL!) et la pris dans ses bras.
Que ferait-elle sans lui? Elle se détendit, collé à lui et réajusta au mieux sa tenue.

Et elle était si désolée de ce qui venait d'arriver...
C'est pourquoi elle se tourna vers son publique et se baissa en un salut à la japonaise.

-Je suis sincèrement désolée pour ce qui vient de se produire!

Fixant ses pieds, les yeux clos, elle priait pour ne pas les avoir vexé. Elle s'en voulait énormément bien que ce n'était pas vraiment de sa faute... Bref.
Et elle fut rassurée de les entendre bafouiller des "C'est bon" "Pas de soucis" de manière un peu désordonnée.

Elle se redressa donc, pour se rebaisser rapidement, n'osant pas croiser leurs regards.

-Merci! Je suis rassurée que vous ne m'en voulez pas!

La gryffondor souri à son sauveur, se rapprochant à nouveau de lui pour lui chuchoter un innocent remerciement.
Puis elle serra la ceinture du manteau du pirate et s’élança dans les couloirs pour ranger son kimono, certainement irrécupérable, et se vêtir d'une tenue plus à sa convenance.

Ce qui venait de lui arriver était tout de même incroyable! Cela n'avait certainement due arriver à personne d'autre! Et elle avait des amis en ors, il semblait, pour le peu qu'elle avait vu, que personne ne s'était formaliser de sa nudité, sans faire le moindre commentaire.
Elle étouffa un rire tant sa situation était comique. Ce plafond en aura décidément vu des choses...

Enfin, Yuuki était de retour, nouvellement vêtue. Elle avait choisit une petite robe légère aux couleurs pâles et parsemées de petites fleurs.
Pour remercier le pirate, elle avait conservé le blouson de cuir de ce dernier et envisageait de le nettoyer un peu. Yuuki avait en effet cru comprendre que ce genre de taches ménagères n'étaient pas tout à fait son truc, elle allait donc se faire un plaisir de lui venir en aide.

Pénétrant dans la pièce tout sourire, elle sautilla vers Jack, insouciante et désireuse de savoir quel type de thé préférait-il. Mais elle passa tout près d'une masse sombre au pelage soyeux.
Elle se figea un instant. Puis s'agenouilla tout près, le fixant, hésitante.
Quel beau félin! Son poils est si soyeux!
Yuuki s'imaginait déjà courir dans un champs de fleurs en riant, poursuivit pas le gros matou, dormir au chaud contre son pelage ébène les soirs d'hivers, le promener à la laisse dans l'école, la protéger contre des mechents...

Le bruit de son cher ami Kazan s'approcher tout près d'elle n'eut que pour effet de lui donner envie de caresser le majestueux animal.
Et lorsqu'elle sentie le souffle chaud de ce dernier lui souffler:

- Tu peux le caresser tu sais ? C'est un gros chat, il ronronne fort, mais sa fourrure est toute douce~

Elle fut comme si on lui avait jeté un sortilège. C'est vrai...? Évidemment, Yuuki ne doutait jamais des paroles du corsaire.
Comme envoutée, elle prit son courage à deux mains et, tremblante, elle avança prudemment la main vers l’hypnotisant animal.
Elle ne put d'effleurer un nanomètre d'un poils que l’œil de la bête s'entrouvrit et la fixa.
Tout compte fait, le thé ne pouvait plus attendre...

Elle retira vivement sa main, effectua un petit salut de la tête comme excuse et se redressa, tenant sa main qui était rentré un court instant en contacte avec une cellule possédant le possédant le même code génétique de la panthère et qui était relié à elle, dans sa deuxième.
Toute raide, elle s'éloigna d'un pas vif, les yeux grands ouverts et les lèvres pincées.
C'est qu'il lui avait fait peurs! Un instant elle l'avait vu se jeter sur elle et la dévorer en un rien de temps! Alors quand elle avait vu les paupières du félin s'entre-ouvrir, elle ne put que regretter son geste et s'éloigner rapidement. Mieux vaut prévenir que guérir!
...Kazan l'aurait certainement défendu voyons.
Elle l'imaginait bien se battre vaillamment contre un lion féroce assoiffé de sang, pourfendant l'ennemi de son sabre et sauvant la princesse!
Les doigts désormais entrelacés par une histoire aussi féérique, elle manqua de l’étaler au sol mais elle se ressaisit. Le thé!!